J’avais initialement prévu de publier mon article la semaine dernière mais j’ai fait un magnifique combo Covid-Grippe en un mois qui m’a éteint au point de croire que je ne suis plus adapté au climat hivernal français.Serais-je devenu en 9 ans un homme du soleil, du désert et des tropiques ? Peut-être pas mais mon corps semble être clairment plus sensible au froid. Du coup, cet été, j’ai eu la chance de retrouver la plupart des gens que j’aime, réunis pour fêter mon faux passage de la cinquantaine grâce à une organisation parfaite de Marie et Elise. Je n’avais pas 50 ans mais presque, au grand dam de certains, persuadés d’être là au moment précis de ce virage symbolique de vie. Comme il est plus compliqué de réunir tous nos proches dans une période si proche de Noël, ma parfaite femme a préféré avancer mon anniversaire en été pour que je puisse arroser avec beaucoup de bonheur ce demi-siècle avec le plus d’amis possible. C’est un concept qui colle si merveilleusement au bordel libanais permanent qu’il m’a presque paru normal de fêter mon anniversaire avec six mois d’avance, durant un week-end vraiment réussi (de mon point de vue).

Voir tous ces gens qui me sont chers, dans une joyeuse fête, a été très émouvant. Je me suis alors dit que j’avais beaucoup de chance d’être si bien entouré. Pour ceux qui n’ont pas pu se libérer ou qui n’ont pu être invités faute de place, je vais me permettre de partager quelques moments de ce délicieux week-end.

Tout d’abord, Carl a eu la délicate mission de me trimballer toute la journée à Romorantin en combi Volkswagen. Loin de moi l’idée de faire preuve de parisianisme méprisant en dénigrant les villes de province, mais il faut reconnaître que c’est quand même pas folichon folichon comme ville. Malgré les efforts désespérés d’une dame de l’office du tourisme, qui a cherché à nous convaincre de l’importance extrême de Romorantin pour la France, que dis-je, le Monde ! Alors entre caviste, petite sieste au bord de l’eau, café, loto sportif, re-café, il y avait quand même une petite escape room pour noyer le poisson d’une journée passée à errer dans Romorantin… Carl connaît mes points faibles ! J’ai eu l’occasion de constater que le combi Volkswagen est une vraie attraction et bien plus confortable que je ne l’imaginais. Je comprends mieux le plaisir de voyager à bord de ce petit van mythique, les jeunes femmes tombant à la renverse à notre passage, nous demandant autographes et selfies. Une sorte de journée de rockstar … à Romorantin !

L’arrivée à la hauteur de ce nouveau statut, au milieu d’une haie d’honneur, ne m’a pas complètement surprise car quelques indiscrétions m’avaient mis la puce à l’oreille mais jamais je ne m’imaginais tant de monde, venant de partout, Montpellier, Bordeaux, Paris, Amsterdam, la vallée de Chevreuse, Meaux, Hanoï, San Francisco, Montréal ou Beyrouth. Dans un effort surhumain, certaines amies n’ont pas hésité à faire un Montpellier-Paris-Orléans-Paris-Vierzon et 15 h de voyage bien involontaire après quelques erreurs d’orientation pour nous rejoindre, provoquant autant d’admiration que de moqueries. La soirée ainsi lancée dans les rires et la convivialité, posant les bases du week-end, tout le monde se relayait dans une chorégraphie impressionnante entre barbecue, cuisine, intendance, plonge et service avec Marie aux manettes d’un ballet parfaitement orchestré.

Je me suis trouvé le spectateur privilégié de cette belle ambiance qui avait pour but de lancer les hostilités du lendemain après une courte nuit.

Les organismes étaient déjà bien entamés par l’intense effort physique de se rendre à Romorantin et seuls les plus résistants ont tenu.

L’arrivée des derniers invités a permis de diffuser la merveille de film réalisé par mon frangin Vincent, avec l’immense talent que je lui connais mais que certains ont découvert ce samedi de mon faux anniversaire. Un film Nitflex, qui met ma couverture à mal, même si je parviens encore à jouer les ingénus pour sauver ce qui peut l’être. Un film drôle et intelligent aux relents assumés de Bureau des Légendes

L’émotion de la diffusion de ce reportage au cœur de mon cercle d’amis n’a pas eu le temps de retomber que je découvrais le magnifique cadeau qu’ils m’avaient tous offert avec un drone me permettant d’assouvir mes rêves de piloter un aéronef. J’avais bien tenté, étant jeune, de fabriquer un magnifique avion à force de patience, de balsa et d’huile de coude, durant près de 6 mois avec un pote de fac. Ce rêve eut une vie brève mais intense, constituée de 3 vols planés de 20 secondes et d’un crash monumental en plein bois de Vincennes.

Un traumatisme probablement à l’origine de ma passion pour l’émission Dangers en plein ciel dont le seul défaut est de ne pas avoir encore autopsié ce désastre aéronautique. L’âme en peine, je me suis alors dirigé vers le boomerang avec plus de succès, puis vers le parapente pour des sensations incroyables.

J’ai d’ailleurs effectué un nouveau stage cet été qui me permet de progresser et de rêver de vols en autonomie un jour. J’ai eu le bonheur d’avoir mon Baptiste avec moi pour partager le sentiment difficile à expliquer d’une traversée de vallée de 12 minutes et de la recherche des courants porteurs. Il m’a fait quelques frayeurs, le bougre, avec son côté rêveur et un peu étourdi, que j’ai vraiment constaté depuis que j’ai été son prof en terminale.

Baptiste en vol
un atterro un peu plus venteux

Pour finir, je rêve un jour de construire mon propre avion, et de voler dedans, cela sera peut-être pour mon prochain demi-siècle … Mais, en attendant, je vais pouvoir explorer le ciel et faire de belles prises de vue, une autre de mes passions, grâce à ce magnifique cadeau. Je l’ai déjà testé plusieurs fois mais j’espère le mettre à profit lors de prochaines vacances, n’étant pas certains que les autorités libanaises soient des plus tolérantes avec ce petit joujou, surtout en ce moment.

Les moments d’amitié, rigolades et surprises se sont enchaînées jusqu’au magnifique film de ma fille, enchaînant les scènes qui résument tant de moments de joie avec tous les gens qui me sont chers. L’idée était de faire le lien entre tous ces amis avec un tablier de cuisine et un petit accessoire que je leur évoquais. Je ne sais pourquoi quelques-uns d’entre eux se sont mis les fesses à l’air … J’ai beau réfléchir, je ne vois pas !

Je m’étais promis d’expliquer les moments à tous, afin de mieux comprendre . Je suis bien conscient des conséquences de certaines révélations que je vais publier ici,en termes de crédibilité et de l’image que vous vous faites de la rockstar de Romorantin, mais je vous dois bien cela, et je crois que c’est le moment de couper l’herbe sous le pied de Voici avant que ma célébrité ne dépasse le centre ville.

Révélations exceptionnelles sur le passé du seul touriste en combi de Romorantin

Alors voici les anecdotes dans l’ordre d’apparition du film :

  • Ma fille chérie semble évoquer le fait que je dorme souvent en slip sur le canapé de notre salon à Beyrouth, trouvant là un peu de répit à la chaleur ambiante, mais me valant quelques sobriquets du genre « slipman » … puis elle s’empare d’un tapis de voiture car, lors d’un voyage d’été, elle avait caché son cahier de vacances discrètement sous le tapis de sol pour ne pas bosser, entraînant une colère noire de ma part, Élise s’étant en plus enfuie dans le camping. Elle porte aussi pour l’occasion un T-shirt Math en Jeans que j’organise depuis quelques années à San Francisco puis au Liban et auquel elle a participé activement.
  • Mon petit neveu fait évidemment allusion à mon amour des jeux, tout comme Jacques, Marjolaine et Plume qui illustrent le fait que nos week-ends à la montagne s’accompagnent d’une pile conséquente de jeux dont la plupart ne servent d’ailleurs pas. J’aime bien le petit clin d’oeil avec notre immeuble, le grand à droite 😉
  • Clémence la mordeuse raconte son accueil alors qu’elle avait deux ans et que Carl et Cathia nous hébergeaient chez eux pendant plusieurs semaines à cause des importants travaux de notre maison. Assez sauvage, cela ne lui plaisait particulièrement d’avoir des kosovars (notre surnom pour leur famille) chez elle. Résultat : je me lève un dimanche matin alors qu’elle était devant la télé. Je m’assois avec elle m’intéressant à son dessin-animé et elle se penche alors tendrement vers moi pour me mordre la cuisse avec application  …
  • Francis passe une porte car j’avais été chez lui pour installer une porte en rénovation qui s’est avérée être vraiment vraiment mal posée avec une journée de boulot pour bricoler un truc à peu près fonctionnel à défaut d’être présentable. Un de mes pires souvenirs de bricoleur.
  • Carole et Clayton, nos voisins de Tiburon : ai-je besoin d’expliquer l’équerre et la règle?
  • Ma nièce Luna avec laquelle je prends un malin plaisir à aller acheter des bonbecs malgré le désaccord de principe de ses parents
  • Bertrand et Isa utilisent un étai sous une poutre car c’est sous la supervision technique de Bertrand, prof de techno, chef et chantier et mentor de génie que nous faisions nos gros travaux (durant quand même 3 ans …) . Il avait fallu « sécuriser » à fond, son mot d’ordre absolu au moment de changer une poutre maîtresse, d’ouvrir des cloisons et autre chantiers conséquents dans cette vieille maison :D. Ça me manque pas mal de bricoler d’où mon enthousiasme de m’y remettre à Bordeaux (dans une moindre mesure, en appartement …)
  • En parlant de bricolage, mon beau-f et ma belle-sœur ne sont pas particulièrement dans le coup, hormis cette mini-perceuse qui sert à tout, y compris percer un mur en béton pour les luminaires 😀 .Mon autre belle-sœur Agnès en remet une couche sur le bricolage, en spécialiste qu’elle est
  • Lauranne et Olivier illustrent leur passion pour le cocktail national : Gin-Basil lorsqu’ils sont venus à Beyrouth et leur initiation dans un barathon légendaire
  • Nos potes de Fublaines, Sylvain et Laurence avec leurs enfants Antoine et Jeanne, qui nous ont accompagné dans un voyage en Utah, au Colorado et Arizona. Les fidèles lecteurs reconnaîtront l’épisode de la petite sirène que j’avais déjà relaté ici : https://schav.fr/putain-de-sirene/. On remarquera la chorégraphie hyper-pointue et quasi cinématographique des Thibults, impressionnante de précision.
  • Tien raconte un cours particulier épique durant 4 heures alors qu’elle était en prépa véto et qu’elle avait quelques galères en proba. Cela a failli mettre fin à ma vocation devant une incompréhension tenace et une note finale plutôt basse 😀
  • Céline avec sa camionnette de Ken, raconte une histoire d’antenne. Alors qu’une carte de géographie traînait dans une armoire de maths, je décide de mener une expédition punitive en recouvrant le pare-brise de sa voiture avec la carte. Pour éviter qu’elle ne s’envole, je décide de passer un anneau de la carte dans l’antenne que je prends avec force, et qui me reste dans la main ! Là, deux options se présentent à moi : je balance tout et je feins l’ignorance ou alors j’avoue et je m’excuse. J’ai choisi la deuxième option mais il s’avère que la voiture appartenait à son papa qui prenait un malin plaisir à me voir me confondre en excuses à chaque fois que je le voyais.
  • Mon frangin rappelle que je l’avais « obligé » à attraper (en lui prenant la main, quoi …) une clôture électrique pour voir ce que ça faisait. Et ça lui a fait mal ! Depuis, il me le rappelle souvent, j’en ai légèrement honte.
  • Nos québécois préférés font n’importe quoi :D, si ce n’est qu’on aime leur parler du froid et de la neige alors qu’ils aiment tant la chaleur
  • Miguel, mon collègue de San Francisco maintenant aux Antilles fait allusion à ma tendance à mettre des écouteurs et à danser en écoutant des chansons en travaillant à mon bureau, ce qui rendait les discussions un poil compliqué et perturbait un peu le travail de mes voisins
  • Julien et Séverine les néo-canadiens évoque une soirée karaoké mémorable qui a complètement déraillé et dont quelques photos déguisées ont fini sur le portable de la proviseure adjointe du lycée de SF en pleine réunion avec un Airdrop mal maîtrisé 😀 et, bien sûr, les jeux, toujours les jeux …
  • Nico avec son Sardou derrière, se moque de moi car j’ai planté deux réunions Zoom depuis Beyrouth, une en donnant le mauvais lien aux quelques 400 profs de maths au Liban, puis une autre en fermant une réunion au lieu de terminer une activité en groupes. Mes collègues m’ont alors interdit de me servir de Zoom à partir de ce moment-là . Quant à Sardou, c’est le cadeau qu’on lui a fait quand il est parti du Liban devant sa sale habitude de chanter Sardou quand le taux d’alcoolémie s’envole. Il a adoré mais il a abandonné le pauvre chanteur devant ma porte, prétextant de ne pouvoir l’emmener dans ses bagages au Viêt-Nam où il occupe un nouveau poste de formateur. Résultat : je lui ai ramené Michel à Paris, lors d’un séminaire, le contraignant à le prendre finalement et Michel accompagne depuis toutes les visios de Nico, non sans un certain étonnement des inspecteurs de maths …
  • Carole, la plus ancienne de mes amies de cette vidéo, rappelle mes années lycéennes au lycée Marcelin Berthelot et une prof de maths qui m’a montré ce qu’il ne fallait pas faire (sauf à ne pas aimer les élèves)
  • Quant à Cathia, elle évoque son enterrement de vie de jeune fille dans la maison de mes parents dans l’Yonne, et l’épisode d’une balade nocturne vivifiante pour aérer les esprits embrumés par un trop plein d’alcool. Alors que nous nous promenions à la lampe torche, Cathia s’enfuit dans un champ et on la recherche pendant 20 minutes, ce qui a commencé à nous inquiéter sérieusement, vu son état. Et là, elle ressort brusquement du champ en sautant sur la route en hurlant « J’tais cachée !! ». Sinon, le lancer de mallette correspond à ma technique toute particulière pour ranger mes affaires lorsque j’habitais chez eux avec Marie (voir épisode de la morsure de Clémence), heurtant quelque peu leurs habitudes de rangement maniaque. J’ai un peu changé de technique depuis et eux se sont un peu assouplis, ils apprécient à sa juste valeur à présent l’efficacité de la technique …
  • Arthur se rappelle des cours de SNT lors desquels j’ai traumatisé quelques dizaines d’élèves avec l’apprentissage du binaire, dont Arthur ! D’ailleurs, petit exo pour les non-initiés : quel est le nombre décimal correspondant au binaire d’Arthur ?
  • Pour Greg, je cherche encore le lien entre l’œuf et moi … pff, je ne vois pas !
  • Quant à Carl, ma première boule à zéro date d’une semaine avec les VDV au frais dans les Alpes, alors que la canicule de 2003 sévissait partout en France … un grand moment !
  • Ensuite, nous avions pris l’habitude avec Marie-Ange, collègue de Marie devenue amie, de faire un petit point santé régulier dès que j’appelais au cabinet. Comme les jeux de mots sont une source inépuisable de blagues entre nous, elle s’est permise de faire un point sans thé, puis un point sans T.
  • Sandrine et François, parents d’Arthur, ont, je le sais, adoré les cours de SNT et restent très marqués par la base 2 au point de s’investir physiquement dans la progression scientifique de toute la communauté française de la baie de SF puis de la région de Montpellier.
  • Lynn, la copine de Baptiste, a été obligée de se mettre aux Escape games et mon fils adoré a forcément fait état de mon amour du rugby et de mon support inconditionnel pour le Stade Français.
  • Mon beau-père a souvent participé avec moi aux challenges et autres défis mathématiques que j’adore. Il est mon cobaye pour mes achats de livres et revues pour vulgariser auprès de mes élèves
  • Le strip-tease de Nath, juste magnifique, pas encore vécu en live mais il faut un début à tout ! Je reste convaincu que c’est une promesse pour mes 50 ans :D, tout comme une récente proposition qu’elle a faite sur Whats App que je ne dévoilerai pas, même à Voici devant son indécence.
  • Ensuite, mon cher papa montre le mur où, étant enfants avec mon frère, une bagarre avait un peu dégénéré avec quelques jetés de feutres avaient laissé quelques stigmates sur le papier peint tout neuf. Ça nous avait valu une sacrée engueulade …
  • Françoise évoque une partition car, lors de nos premières rencontres avec Marie – elle avait alors 17 ans, on se retrouvait chez moi le mercredi après-midi alors qu’elle était censée avoir cours de clavecin. Elle s’était fait un peu griller une fois et cela nous poursuit depuis
  • Jules et sa famille, toujours aussi déjantés ! Mais quelle rigolade !
  • Ma mère, amatrice de casse-tête, a eu le droit au Perplexus. Qu’elle n’a pas encore réussi à finir à son grand désespoir.
  • Thierry, mon pote manœuvre de chaque instant à Fublaines qui en a eu des outils entre les mains, prouve bien que le mot d’ordre à l’époque était « sécuriser » !!
  • François qui m’a fait découvrir le doudou shot avant même mon arrivée à Beyrouth, apparemment bien chargé celui-là … Et Virginie évoque les barbecues mythiques dans leur maison de Californie. Je n’ai jamais mangé un meilleur poulet grillé de toute ma vie !
  • Marie présente un moment douloureux de ma vie, à Tahiti, où, pris d’une fièvre brutale, j’avais cherché un thermomètre partout dans la maison pour finir par utiliser un thermomètre de cuisine :D. Je ne marche plus pareil depuis…
  • Pat me nargue avec ses cheveux comme d’hab
  • Les californiens chantent des polyphonies corses dans le Golden Gate Park car on avait été à une scène ouverte, sorte de bar où tout le monde peut venir chanter sur scène après s’être inscrit. C’était pathétique de médiocrité, et, surtout, les applaudissements timides à chaque passage étaient essentiellement faits pour faire descendre de scène le plus rapidement possible les chanteurs précédents. J’ai failli réussir à convaincre mes potes de monter sur scène pour un chant polyphonique de 20 minutes, avec des pauses qui déclenchent des applaudissements pour qu’on dégage, nous permettant de repartir de plus belle. Pour sûr, ça aurait été un grand moment de rires mais ils ont eu peur (pourtant, franchement, vue la qualité des chanteurs, on aurait été de loin les meilleurs).
  • Geoffroy, le cuisinier corse, évoque l’été 2020 où nous devions aller en Corse avant que le covid ne me cloue sur le continent. Le souci est que Geoffroy, Christelle, Carl et Cathia avaient modifier leur programme pour qu’on s’y croise. Geoffroy a donc posté une vidéo panoramique d’une place en chantant « où sont les Schavs ? »
  • Quant à Steve et Epsy, pas d’anecdote, juste le plaisir de faire la danse des canards

Voilà, j’ai fait le tour … j’espère ne pas avoir été trop fastidieux, et encore, il manquait d’autres personnes chères comme Manu, Franky et Steph, Nico Bonnet ou Nicolas Legat … J’ai pensé à vous et désolé d’avance si je vous ai oublié!

Merci à vous tous qui avez contribué à rendre ce week-end si spécial, et ce passage parfait de mon demi-siècle avec quelques mois d’avance.

Maintenant que j’ai vraiment cinquante ans, je mesure avec plus de force encore l’immense bonheur de pouvoir compter sur vous tous.

Je vous embrasse tendrement. À bientôt pour des nouvelles du Liban.

3 Replies to “Ça y est, j’ai 50 ans”

  1. Hello le vieux, j’ai bien cru qu’il faudrait attendre 50 ans pour avoir un résumé de ce magnifique WE. Encore merci et bravo aux organisatrices.
    En revanche je tiens à prendre la défense de mon filleul qui lui fait attention au lieu de faire le casse-coup suspendu à un bout de tissu ….Il a lui encore tous ses genoux !!!
    bises et profitez bien de votre séjour au calme, de la joie et paix pour 2024
    bisoux

  2. Eh bien dis moi, quel post mon Matth ! Mais bon, en 50 ans, il y a des choses à dire et à montrer!
    J’ai sans doute pris autant de plaisir à lire tes commentaires que toi à les écrire et visionner les différents films de ta vie. Tous ont été réalisés avec talent, un grand bravo aux réalisateurs 👏👏
    Ce devait être un week-end magnifique pour toi!
    Toutes ces personnes montrent combien tu peux laisser une trace indélébile partout où tu passes (et je ne parle pas du couloir chez tes parents 😉 ), et c’est également le cas de mon côté. Travailler (mais pas que) avec toi à Emilie du Châtelet était un plaisir. Je regrette toujours de n’avoir pu te rejoindre à SF, mais c’est comme ça…
    Je ne regarde jamais mes tournevis torx FACOM, sans penser à toi. Et je me demande toujours si tu utilises bien ceux que tu m’as pris 😂😂 Je devrais peut-être demander à Francis 🤣. Bon, ok, je sais que ce n’est pas toi, rassure-toi. Cela restera le mystère d’Emilie.
    Profite bien de tes belles années au Liban ou ailleurs. La coïncidence veut que je remonte à Crécy la Chapelle dans 2 jours jusqu’au samedi. Ça aurait été chouette de se croiser en Seine & Marne… Mais je doute que tu y sois encore. Si oui, fais-moi signe…
    Au plaisir de te lire, en attendant de vous revoir avec un plaisir réel et entier mais pas du tout relatif (pour les initiés… imaginaires)
    Je te fais 1 1 0 0 1 0 bises, et j’en ajoute une pour Marie bien sûr 😉, ce qui est très rationnel de ma part, non?
    Manu

  3. Salut Matthieu
    Quel plaisir encore une fois de te lire et aussi de revoir pleins de têtes qui font remonter pleins de bons souvenirs. Ils étaient la avant toi, mais revoir Marjolaine, Jacques et surtout Plume, ça m’a mis un coup sur la tête !! Je l’ai connue bébé et toute petite fille lorsqu’ils ont quitté SF vers 2015.
    Et puis aussi Céline , Nathalie, les Laroutouroux, Julien Texier, les Margot, Isabelle et puis évidemment ta petite famille et Baptiste et d’Elise qui n’ont pas trop changé ……. contrairement a d’autres :+)
    Une fois visionné l’excellent documentaire de ton fréro, j’ai très vite souscrit un abonnement a Nitflex, une plateforme que j’ignorais completement.
    J’ai hâte que tu aies 60 ans pour voir la 2eme saison !! Super aussi celui d’Elise.
    En attendant, hasard du calendrier ou coïncidence, je vais célébrer le mien dans 2 jours. Quand j’avais le double de ton age, la somme de nos ages était de 15 ans.
    Pas trop dur à deviner pour un esprit vif comme le tiens !!
    Voilà, je te souhaite encore un excellent anni, pleins de bisous et mes meilleurs voeux pour 2024 a la famille et toutes les personnes mentionnées plus haut.

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